vendredi 18 juillet 2014

Le temps qui s'étire




Le luxe ici c'est de descendre pieds nus dans le jardin, de ramasser des mangues et de les manger directement. Elles sont tellement mures qu'un ongle suffit à fendre la peau et à les éplucher à la main. 
Enfin, je dis pieds nus, c'est pas le cas de Z qui doit remettre sa panoplie anti-radiation-nucléaire à chaque fois qu'il sort de la piscine. Pantalon, manches longues et chaussettes sont de rigueur un peu tout le temps à cause des moustiques et du chikungunhia : ce n'est pas de la paranoïa c'est une véritable épidémie, ici en 3 jours on a déjà rencontré 3 personnes qui l'avaient. 





Même plus la peine d'aller à la mer comme les autres années, 
le grand-père de Z a fait construire une piscine dans son jardin alors on reste ici la plupart du temps. 




On s'amuse à trouver des formes dans les nuages. 
Z trouve des biquettes un peu partout, j'ai pas encore compris de quoi il s'agissait parce que je l'avais déjà entendu parler du fait qu'au parc avec des feuilles il fabriquait des biquettes avec sa copine A...


Ça c'était la lune dans le ciel pendant notre premier bain dans la piscine le premier jour au saut du lit 
(il était 5h du matin, et même si c'était trop tôt, c'était bien...)

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